Extraits de presse
Philippe Olivier
(novembre 2018)
« Passionnante conversation, hier, avec l’excellente harpiste Pauline Haas, la star montante de sa génération en France. Auditions répétées de son nouveau CD Naxos 8.579015, consacré à des oeuvres romantiques pour la harpe. Entendre l’instrument des Lily Laskine et autres Nicanor Zabaleta joué d’une manière aussi intelligente et inattendue est une surprise absolue ! Pauline Haas se montre très grande musicienne. Elle recherche et trouve en tout la lisibilité, notamment durant la vétilleuse fugue de l’opus 35 n°1 de Mendelssohn. Egalement au menu – entre autres – des transcriptions de la Mort d’Isolde, de La Moldau et de pages signées Mendelssohn ou Tchaïkovski, toutes réalisées par Pauline Haas. On y trouve également une Fantaisie sur des thèmes du ” Faust ” de Gounod, signée Albert Zabel, le harpiste solo du Ballet impérial de Saint-Pétersbourg avant la Révolution de 1917. Donc : un bravo enthousiaste de la part d’un auditeur réputé des plus difficiles ! »
MusicWeb International,
Ian Lace (March 2018)
This is an interesting and enterprising selection. There is no doubt that Pauline Haas is an accomplished harpist and she has chosen a programme that shows off the many-sided facets and interpretative possibilities of her instrument. © 2018 MusicWeb International
© 2018 Ritmo
David’s Review Corner
David Denton (October 2017)
Born in France in 1992, Pauline Haas was a young harp prodigy winning, at the very young age of thirteen, the prodigious Lily Laskin International Harp Competition. Mostly in arrangements by Haas, she has recorded a programme that mixes little known original works with transcriptions of popular orchestral, piano and operatic pieces. Opening with music by John Thomas, the Welsh musician who was to become harpist to Queen Victoria, the only other original score being that by the German harpist, Albert Zabel, the two works, composed at much the same time, having their genesis in the fashion and tradition of virtuoso showpieces based on operatic melodies. The rippling river in Smetana’s Die Moldau is effectively transcribed to use nimble fingers, and I especially enjoyed the Tchaikovsky transcription of two salon pieces from his score, The Seasons. More demanding is the interweaving in Mendelssohn’s Fugue, the disc ending with Isolde’s final eulogy to Tristan in the closing moments of Wagner’s opera. Throughout, the clarity of Haas’s playing is outstanding, and while the disc does not detail the harp used, it is of superb quality with inaudible pedal movements. Likewise the French recording uses the ideal degree of reverberation. Much enjoyed. © 2017 David’s Review Corner
Resmusica
Maxime Kapriellan (mai 2014)
La jeune harpiste Pauline Haas réussit le tour de force de trouver le bon équilibre sonore dans les partitions de Debussy et Caplet qui mettent en aleur son jeu.
La croix
Emmanuelle Giuliani (Mai 2014)
La lettre du Musicien
Antoine Pecqueur (mai 2012)
Une chose est sûre: chez Pauline Haas l’engagement n’attend pas le nombre des années.
Christian Fruchart (19 novembre 2011)
L’instrument de Pauline Haas trouve des accents et une énergie dont on ne le savait pas capable. La harpe nouvelle est arrivée.
Dernières Nouvelles d’Alsace
(17 novembre 2011)
En solo, Pauline Haas donne une interprétation incroyable de la sonate. L’on connaît les défis que se fixe cette toute jeune artiste (19 ans), des transcriptions improbables d’oeuvres réputées injouables qui impliquent d’avoir huit mains. Dans cette sonate de la maturité de Mozart, Pauline Haas semble se jouer des difficultés sans pour autant perdre une once de musicalité ou de sentiment. Tout bonnement bluffant…
(octobre 2008)
Des instants terribles: le concert de Pauline Haas; un électrochoc au sens premier du terme, avec une artiste qui littéralement corps avec la harpe et devient physiquement habitée par chaque morceau.
Je reste songeur sur cette présence et sur l’énergie qu’elle dégage intensément à chaque mesure…
Magazine de l’Association Internationale de la harpe
Bertile Fournier (janvier 2007)
(…) Pauline Haas, notre premier prix junior. Je peux vous dire que c’est déjà une Grande, son jeu est bouleversant de sensibilité, de science des nuances, de respiration subtile, elle vous emmène dans un autre monde de douceur et de force à la fois, elle est comme envoûtée par sa musique et elle n’a que 14 ans!
Magazine de l’Association Internationale de la harpe
Anne Ricquebourg, (mai 2006)
Pauline Haas présente un potentiel exceptionnel. Elle a conquis le public par son extraordinaire talent: sensibilité, sincérité, authenticité et une superbe sonorité au service de la musique.